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Une célèbre phrase proverbiale disait que « celui qui contrôlerait la mer et les océans contrôlera le monde ». En raison de cette phrase, nombreuses sont les pays qui avec leurs armées se sont lancés à la conquête des océans.C’est en effet pour dominer les mers que les Navy, en français marines du monde, ont été créés. Dans le but d’assurer la suprématie des pays. Afin de s’assurer de leurs puissances et de leurs efficacités en mer, des navires de guerre ont été mis à la disposition des différentes marines. Parmi ces nombreux bateaux d’affrontement, ont été inventés le croiseur et le cuirassé. Puisque que tous les deux sont des bateaux d’affrontement, il est courant que les personnes les confondent. Seulement, il existe des différences entre ces deux embarcations. Vous ignorez de quelle différence il s’agit ? Découvrez-le avec cet article.
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En effet, les croiseurs et les cuirassés sont tous les deux des bateaux d’affrontement. Mais il ne s’agit en aucun du même navire. Il existe des différences entre eux. Des différences existent déjà lorsqu’il existait encore des cuirassés. Ses différences se portent spécifiquement au niveau poids, de la vitesse, de la mobilité, mais également du rôle.
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Durant cette période, les flottes de cuirassés faisaient la fierté des différentes marines.Véritable monstre naval de l’époque, il était connu de tous. Son invention étant un souffle de renouveau pour les flottes marines de l’époque. Pourquoi a-t-il été inventé ? Qu’est-ce qui a pu faire sa grandeur ? Ou même pourquoi il n’y en plus etc... Tous sont autant de questions que l’on peut venir à cette pose sur le cuirassé. Faites connaissance avec le mastodonte de la seconde moitié du XIXᵉ siècle.
Pour définir ce type de navire, il suffit de donner en guise une définition très brève. Il est simple de dire qu’il s’agit d’un « navire de haute mer, ayant une puissante artillerie et de fort tonnage, dont les parties vitales sont protégées par d’épais blindages ».
Pourquoi il a été inventé ?
En général, une invention, surtout en matière d’armement, possède toujours une origine, une raison quelconque. Les embarcations de conflagration n’y font en aucun cas exception. Si vers le milieu du XIXᵉ siècle, le bateau d’affrontement est entré et a été développé sur la scène navale, ce n’est pas pour rien. Il y a deux principales raisons à cela.Il y a d’une part, la rivalité des pays européens à l’époque. D’autre part, il y a eu la vulnérabilité des embarcations en bois.
À la fin des années 1850, il était évident que la France n'était pas capable d'égaler la capacité britannique dans la construction de bateaux d’affrontement à vapeur. Ainsi, afin de reprendre l'avantage, un changement de tactique était plus que nécessaire.La conséquence fut alors la construction du premier cuirassé de haute mer, « La Gloire », commencé en 1857 et lancé en 1859.
Sa coque en bois était calquée sur celle d'un navire de ligne à vapeur, mais réduite à un seul pont. Elle fut recouverte de plaques en fer de 110 mm d'épaisseur. Il était équipé d'une machine à vapeur entraînant une hélice lui permettant d'atteindre la vitesse de 24 km/h. Il était armé de 36 canons rayés de 162 mm. La France en a construit à peu près 16, dont deux identiques à La Gloire. Et les deux seuls à deux ponts jamais construits étaient le Magenta et son jumeau le Solferino.
La Royal Navy n'étant pas disposée à perdre sa supériorité en matière de marine, elle était déterminée à surpasser les forces navales françaises. Cela dans tous les domaines et plus particulièrement dans celui de la vitesse. Un cuirassé rapide aurait l'avantage de pouvoir choisir la distance d'engagement et donc se mettre ainsi à l'abri du feu ennemi.
Les spécifications britanniques étaient ainsi plus celles d'une frégate que d'un navire de ligne et elles imposent l'utilisation du fer pour la coque et un allongement du navire.Le résultat fut la classe Warrior composée du HMS Warrior et du HMS Black Prince lancés en 1860. Les deux représentaient un compromis efficace entre la défense, le rayon d'action et la navigabilité en haute-mer. Leur armement était supérieur à celui de La Gloire et la plus grande machine à vapeur alors déployée sur un navire lui permettait d'atteindre 26,5 km/h.
En revanche, La Gloire disposait d'une protection complète au niveau de la ligne de flottaison et des batteries. Tandis que pour conserver sa vitesse, la classe Warrior devait concentrer son blindage dans une « citadelle » centrale. L'avant et l'arrière eux étaient laissés sans défense. Les embarcations de la classe Warrior étaient les symboles de la puissance industrielle, financière et technologique britanniques.
Et sans aucun doute, étaient les bateaux d’affrontement les plus puissants au monde. Ils furent néanmoins rapidement rendus obsolètes par les rapides progrès technologiques qui ne favorisent pas forcément la plus grande puissance navale au monde.
Bien que le développement de ces blindés ait pour principal origine les rivalités des pays européens. Les pays de l’Europe ne sont pas les seuls à avoir développé ces mastodontes. En effet, d’autres pays en ont également équipé leurs marines. À titre d’exemple, il y a eu : les États-Unis, la Russie ou encore le Japon.
Durant toutes ces années de services des cuirassées, il y en a qui ont particulièrement marqué l’histoire. Il s’agit en particulier du pré-dreadnought ainsi que du HMS dreadnought.
Bien qu’il existe encore aujourd’hui de nombreux bateaux d’affrontement, le cuirassé lui n’est plus en service. En effet, de nos jours, il n’y a plus les moindres flottes de cuirassés en services dans les marines. Certes, ces mastodontes ont régné en maître des océans durant des années dès 1859. C’est au cours de la Première Guerre mondiale qu’il a connu son apogée.L’apparition de l’aviation a de toute évidence réduit l’intérêt porté à ces énormes monstres.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, ces navires imposants ont été petit à petit relégués à la défense anti-aérienne, au bombardement d’objectifs terrestres ainsi que des porte-avions. D’ailleurs, les porte-avions étaient devenus les nouveaux rois des océans. L’aviation a tout simplement privé les cuirassés de leur mission principale qui était la destruction du camp adverse.
Dans le même temps, ils se sont malheureusement révélés incroyablement vulnérables aux avions. D’ailleurs, leur armement anti-aérien a été continuellement renforcé durant toute la durée de la guerre.Mais ces mastodontes des mers ont été vaincus par des moustiques. Par des ennemis dont les attaques massives saturent les défenses et produisent, à coups de bombes et de torpilles, des dégâts importants.
Certes, ils restaient très difficiles à couler, mais l’aviation permit de les détruire avec une efficacité jusqu’à lors encore jamais égalée. En effet,leurs blindages se sont révélés insuffisants face aux torpilles lourdes ou aux énormes bombes. Ce fut le cas du Tallboyde 5,4 tonnes qui achevèrent le Tirpitz. Désormais attaquer à distance des flottes adverses, les cuirassées étaient trop loin de leurs adversaires et donc leurs canons, à la portée limitée, devenaient inutiles.
Après la Seconde Guerre mondiale, ils n’eurent pratiquement plus la moindre utilité. En dehors du prestige que leur possession conférait à une marine, ces embarcations coûteuses avaient peu d’intérêt opérationnel. Cela en raison essentiellement en raison du coût important qu’ils représentent. Au début de la Guerre froide, avec l’arrivée de la bombe atomique, le blindage semblait devenu inutile.
Quasiment aucun des bateaux militaires produits après ne disposait de protections blindées. L’ère des missiles était arrivée et les canons de gros calibres disparurent aussi. Finalement, les reproches que l’on fit à ces blindés furent assez proches de ceux que l’on a pu entendre à propos des chars de combat.
À la suite du désarmement du dernier des Iowa américains, aucun cuirassé n'est resté en service dans le monde, même en réserve. Ils ont tous été mis hors service et on ignore où ils sont. À quelques exceptions près, car certains ont été préservés comme des musées. Les États-Unis en ont gardé quelques-uns comme pièce de musée. À titre d’exemples : : les USS Massachusetts, North Carolina, Alabama, New Jersey, Wisconsin, et encore Missouri et Texas. Les USS Missouri et USS New Jersey sont des musées situés à Pearl Harbor et Camden. Tandis que l’USS Wisconsin est un musée placé à Norfolk, mais a été récemment non classé de la flotte. L'unique autre véritable cuirassé visible est le pré-Dreadnought japonais Mikasa.
Quelques cuirassés primitifs et navires de lignes à voiles sont aussi préservés.Parmi eux peuvent être cités : le HMS Victory, le HMS Warrior, le Vasa suédois, le Buffel ou encore le Schorpioen néerlandais et le trophée de bataille chilien Huáscar.
Malgré que les cuirassés aient été mis hors service, la conquête pour la domination des mers et des océans a continué. Ce qui fait que ces navires autrefois monstres des océans ont tout simplement été remplacés par mieux. On pourrait facilement croire qu’il s’agit des croiseurs, mais pas du tout.Ils ont été remplacés par des porte-aéronefs. Le porte-aéronef ou porte-avion est un navire de guerre permettant le lancement et la réception d'aéronefs (avions de combat, hélicoptères) à partir de son pont. Ils sont dotés d’une puissance militaire considérable dont les capacités sont multiples. Les marines actuelles en font des instruments d’une grande souplesse d’utilisation militaire ou diplomatique.
Ayant cohabité auparavant avec son homologue le cuirassé, le croiseur est un autre type de bateaux d’affrontement. D’un point de vue historique,les croiseurs sont considérés comme susceptibles d'opérer individuellement, en croisière, comme un cuirassé.Mais par rapport à ce dernier, le croiseur est bien plus léger et mobile. D’ailleurs, depuis le début des années 1990 et avec la disparition des cuirassés. Ce sont le plus puissant et le plus grand des bâtiments de combat, exception faite des porte-avions. Bien que cet édifice de combat-ci existe toujours, vous ne connaissez que peu de choses à son sujet ? Faites connaissance avec des navires sacrément redoutables.
Le terme " croiseur " est une invention apparue au milieu du XIXe siècle. Durant l'âge de la voile, les frégates étaient de petites embarcations.Légèrement armé, avec une batterie sur un seul pont, il étaitcapable d'effectuer de longues croisières. Elles étaient censées éviter l'engagement avec le gros des forces ennemies grâce à leur vitesse supérieure aux vaisseaux de ligne. Pendant de nombreuses années, les croiseurs servaient d’intermédiaire entre le cuirassé et le torpilleur. Ils assument donc les missions autrefois dévolues aux anciennes frégates et corvettes, à savoir :
Ainsi,ils comblent une des lacunes des cuirassés, qui, étaient incapables d'être envoyés loin de leur base. Cela avait pour cause, en particulier, le fait que leur poids était plus conséquent et leur consommation de charbon énorme. Cette grande diversité de tâche, associée à l'évolution technologique de la fin du XIXe siècle, provoque assez rapidement une spécialisation des croiseurs.
Un croiseur est un type de bateau d’affrontement, mais il n’en existe pas qu’une seule version. Il existe, en effet, plusieurs types de croiseurs. On peut donc distinguer les croiseurs : cuirassés, protégés, auxiliaires, de bataille. Mais il y a également les croiseurs légers et lourds.
Il apparut en 1875, le Shannon britannique, est le premier représentant des croiseurs cuirassés. Il est de ceux qui combinent un armement puissant. Avec, en plus, deux ou quatre pièces principales d'un calibre de 203 ou 254 mm et une douzaine de pièces secondaires souvent de 152 mm. Une protection constituée d'une ceinture cuirassée d'épaisseur moyenne, qui lui permettait de subir seulement le tir de pièces équivalentes à celles qu'il embarquait. Il pouvait en outre courir à une vitesse légèrement supérieure aux cuirassés de l'époque. Ils échappent ainsi à leur chasse. Ces croiseurs pourraient être vus comme des cuirassés de deuxième rang. Ils étaientsouvent destinés à former les escadres outre-mer.
Le croiseur protégé est apparu vers 1880. Un autre type,plus léger, dont la protection était constituée par un pont blindé couvrant les chaudières. Ces croiseurs étaient également constitués de machines à vapeur, ainsi que les soutes à munitions. Ils étaientarmésle plus souvent d'une douzaine de canons de calibre moyen, généralement du 152 mm. Leurs missions principales étaient la reconnaissance et la guerre de course.
Avant la fin, est apparue la pratique d'armer des navires marchands pour la guerre de course, ou la défense des convois. Ces bâtiments furent appelés des croiseurs auxiliaires. Bien que moins armés et protégés que les croiseurs conventionnels. Ils prirent une part non négligeable dans ces missions, en particulier au cours des deux conflits mondiaux.
Les navires convertis étaient souvent des paquebots, choisis pour leur grande vitesse. Ils étaientéquipés de pièces de calibre moyen.Ce qui leur permettait de dissuader les croiseurs ennemis de s'en prendre au convoi. Cde n’était même pas pour éviter le risque de destruction directe, mais surtout par la crainte d'avaries sérieuses, très loin d'une base amie. Une autre variante, fréquemment nommée raider, consistait en la conversion d'un cargo dont l'armement était alors dissimulé. Ce qui lui permettait d'agir avec un effet de surprise. Cette technique fut employée notamment par la marine, l'Allemagne.
Parallèlement à l'apparition du dreadnought pour les cuirassés, est apparu ce nouveau type de croiseur. Celui-ci est provoqué par les théories de l'amiral britannique John Arbuthnot Fisher. Ce modèle-ci concentrait toute son artillerie dans le calibre maximum pour pouvoir détruire ses adversaires à la plus grande distance possible. La défense n'était pas censée protéger l’édifice contre une artillerie équivalente. Seulement contre des pièces de calibres intermédiaires. La philosophie de cette réforme de Fisher tient dans une de ses déclarations. Celle qui affirmait « speed is protection » littéralement « la vitesse est la protection ». Ces nouveaux croiseurs de bataille sont donc des navirestrès rapides, environ cinq nœuds de plus que les cuirassés de l'époque. Ils étaient armés d'une artillerie équivalente, mais par contre incapables de supporter le feu de ceux-ci de façon prolongée. Les croiseurs de bataille montrent qu'ils sont les prédateurs naturels des vieillissants croiseurs cuirassés. Mais ils montreront des limites lors d'engagements de plus grande importance contre des dreadnoughts comme à la bataille du Jutland. À cette occasion, les croiseurs britanniques subiront une véritable hécatombe face à la flotte de ligne allemande. L'apparition des cuirassés rapides après-guerre finira par donner le coup de grâce au concept de croiseur de bataille.
Ces limites n’ont été bien définies qu'à l'approche de la Seconde Guerre mondiale. Ceci avec l'apparition des cuirassésde poche allemands de la classe Deuschland. Malgré l’appellation de ce dernier et leur mission principale, l'attaque du commerce ennemi. Ils devraient être considérés comme des croiseurs. Dans le même temps, l'apparition de la menace majeure constituée par les avions de bombardement, fit spécialement certains croiseurs légers. Pour combattre cette menace, ils sont munis d'une forte batterie de pièces d'artillerie dite à double emploi.À savoir,contre la surface et anti-aérien. Les précurseurs furent de nouveau les Britanniques avec la classe Dido. Ceux de cette classe étaient armés de huit, puis dix, canons de 133 mm à grande élévation et munis d'une conduite de tir avec un radar. Les croiseurs lourds, eux, connurent leur apogée à la fin de la Seconde Guerre mondiale avec la classe américaine Alaska. Ceux-là armés de neuf canons de 305 mm et déplaçant 27 000 tonnes.
Dans la terminologie militaire moderne, un croiseur est caractérisé par le « code OTAN, CC, CG, lance-missiles, ou CGN, à propulsion nucléaire ». C’est un grand bâtiment de combat qui dispose des systèmes d'armes lui permettant d'intervenir dans tous les domaines. Il permet de lutter principalement lors combat en mer. À savoir,lutte anti-sous-marine, lutte anti-navire, lutte anti-aérienne, l'attaque d'objectifs terrestres. Ils sont de tonnage plus important que les destroyers et les frégates, davantage spécialisés dans des domaines de lutte. Ils sont aussi généralement dotés de missiles de croisière pour des attaques d'objectifs terrestres. Ils sont aussi dotés de missiles anti-navires, de missiles anti-aériens. Par ailleurs, ils embarquent des hélicoptères à vocation anti-sous-marine ou anti-navires. Actuellement, seules l'US Navy et la marine russe possèdent encore des croiseurs. La marine nationale française possède également la Jeanne d'Arc, un « croiseur porte-hélicoptères ». Toutefois, il ne s'agit plus d'un bateau de combat, mais d'un édifice d'instruction destiné aux jeunes officiers diplômés de l'école navale. Afin d’en connaître plus sur les édifices de combats ou autres dans le thème militaire, rendez-vous sur Surplus-militaires.