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Un char de combat est un véhicule blindé monté sur rails qui peut se déplacer sur tout type de terrain. De ce fait, les chars de combat principaux sont équipés de canons et de mitrailleuses. Le char militaire estun équipement de terrassement qui a été principalement utilisé pour briser les lignes ennemies pendant la guerre et qui peut également être utilisé dans des circonstances spéciales comme les catastrophes naturelles. Et il coûte plus cher en raison de ses fonctions extraordinaires et de son coût de production élevé. Le char Leclerc est un char de combat français de troisième génération, réalisé à l’arsenal de Roanne en France par Nexter jusqu’en juillet 2008. Il a été nommé en l’honneur du maréchal Leclerc. C'est la dernière production du char de la marque française. Ces tanks sont des armes de défense et d'attaque, utiliser sur le front de guerre dans le monde entier.
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Le char Leclerc dispose une grande puissance de tir, très mobile et doté d’une protection importante. En plus, il possède une transmission des données due à l’information de commandement. Il était le seul char capable de tirer sur une cible fixe jusqu’à 4 000 mètres, même en roulant. Le canon du char Leclerc est un CN120-26 élaboré par GIAT industries. Il embarque un calibre de 120 mm à âme lisse, de longueur de 52 calibres, il appartient à la munition standard de l’OTAN à douilles combustibles. La canon pèse 3,5 t au total.
Les munitions antichars obus flèche (OFL) LKE1 est utilisé pour à battre les chars lourds, il était développé conjointement avec l’Allemagne (désignation allemande DM43), sa vitesse de balle est de 1 790 m/s ; L’obus explosif à charge creuse (OECC) a une vitesse initiale de 1 100 m/s ;
L’obus-flèche à pénétrateur d’uranium appauvri hOFL 120 F2 120 mm APFSDS (Armor-Piercing Fin-Stabilized Discarding Sabot). Ce projectile était fabriqué à partir de l’usinage de l’uranium à la SICN d’Annecy, filiale à 100 % d’Areva. Il était élaboré par Nexter destinés pour les chars Leclerc. Mais depuis 2011, les munitions plus diversifiées sont les matériels comme : l’obus explosif (EXPL), mesuré de 120 mm et pèse 16 kg, dont 3 kg sont des explosifs, il projette un souffle puissant et des milliers d’éclats qui lui donne une grande capacité détruisant ; l’obus à effet canalisé (OEFC). Sa taille est de 120 mm et a été développé pour la zone urbaine et le tir à courte portée ; il était dispersé en 2013. Lors du tir, le canon libère 1 100 billes de tungstène avec une vitesse initial de 1 410 m/s. Il est efficace pour un tir moins 400 m ;
L’obus 120 mm HE M3M programmable tri-mode était en cours d’élaboration en 2016.Le but est d’avoir l’effet, un obus explosif puisant, selon le mode retenu par le tireur : un déclenchement à l’impact, un déclenchement avec retard d’explosion (pénétration de construction avant d’exploser pour un effet anti-infrastructure), et un déclenchement de type « airburst » (explosion en vol aux abords de la cible).
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Le char, également appelé blindé, est un véhicule de combat chenillé et blindé conçu pour le combat en première ligne. Les chars sont utilisés dans de nombreux pays et par diverses forces militaires. Les chars ont été développés à la suite des conditions de guerre de tranchées de la Première dans le monde. Les trois facteurs traditionnels déterminantl'efficacité d'un char sont sa puissance de feu, sa protection et sa mobilité. La conception d'un char est donc traditionnellement issue d'un compromis entre ces trois facteurs. Par exemple, en renforçant le blindage, on augmente la protection, mais aussi le poids et on diminue alors la manœuvrabilité. Une puissance de feu supérieure, obtenue en utilisant un canon de plus gros calibre, diminue la manœuvrabilité et la protection.
Les chars modernes ont une panoplie de systèmes pour rendre leurs tirs plus précis. Des gyroscopes sont utilisés pour stabiliser l'arme principale ; les ordinateurs calculent l'altitude et le point de visée appropriés. Des sondes mesurent la vitesse du vent, la température de l'air, l'humidité, la température du canon, sa déformation, la vitesse de la cible (calculée en prenant au moins deux mesures successives avec le télémètre) et le mouvement du char. L'infrarouge, l'amplification de lumière, ou les équipements thermiques de vision de nuit équipent généralement les engins modernes. Des indicateurs de cible laser peuvent également être employés afin d'illuminer des cibles pour les munitions guidées. En conséquence, les chars modernes peuvent faire feu avec une précision raisonnable tout en se déplaçant.
La protection est la capacité du char de résister à la détection, à la neutralisation ou à la destruction par le feu ennemi. La protection d'un char est la combinaison de sa capacité à prévenir la détection pour éviter d'être frappé par le feu ennemi, et de la capacité de son blindage à résister aux effets du feu ennemi et à les encaisser afin de protéger l'équipage et d'accomplir la mission. Le quadrige de combat est le véhicule le mieux blindé dans les armées modernes. Son blindage est conçu pour protéger le véhicule et son équipage d'une grande variété de menaces. Généralement, la protection contre les pénétrateurs à énergie cinétique (balles, missiles, obus…) tirés par les autres chars est considérée comme la plus importante. Les chars sont également vulnérables aux missiles guidés antichars, aux mines antichars, aux grosses bombes, et aux tirs d'artillerie, qui peuvent les neutraliser ou même les détruire. Les chars sont particulièrement vulnérables aux menaces aériennes. Le châssis (en rouge) est appelé aussi "caisse". Le poids dû àla quantité de blindage nécessaire pour le protéger contre toutes les menaces imaginables sous tous les angles serait trop grand pour être réaliste ; concevoir un char est donc toujours affaire de compromis entre le blindage et le poids. Dans ce domaine, on finance et on suit de très près la recherche sur les nouveaux alliages et matériaux. La plupart des véhicules de combat blindés sont faits de plaques d'acier, dans certains cas d'aluminium, durcies, en anglais : hardened steel plate. L'efficacité relative du blindage est exprimée par comparaison à une tôle de blindage homogène obtenue par laminage. La plupart des véhicules blindés sont mieux protégés à l'avant, et l'équipage essaie toujours de maintenir l'engin dirigé vers la direction la plus probable de l'ennemi. Le blindage le plus épais et le plus incliné est sur le glacis, à l'avant de la tourelle. Les côtés sont moins blindés, et l'arrière, le ventre et le toit sont les moins protégés.
Il existe plusieurs modèles de chars dans le monde :
L'armement du Leclerc est complété par une mitrailleuse coaxiale Browning M2 de 12,7 mm montée sur le châssis à gauche du canon de 120mm et approvisionnée avec 800 cartouches et une mitrailleuse de 7,62 mm sur la tourelle pour l’autodéfense antiaérienne. Celle-ci devait être dans un tourelleau téléopéré T2B d'Herstal lors de sa modernisation dans les années 202019. Le blindage de la tourelle est du type semi-modulaire comme sur le Leopard 2 allemand. Ce char est doté d‘un chargement automatique.
Le système de chargement Automatique (CHA) a été conçu par Creusot-Loire Industrie. Il permet d'une manière courante le rechargement du canon lors des tirs en mouvement, lui assurant une cadence de tir lui permettant de traiter six cibles à la minute. La séquence de tir nominale est inférieure à 8 secondes, et le temps de redoublement (charger deux munitions du même type l'une après l'autre) inférieur à 6 secondes.
Le fonctionnement de ce système dans son ensemble est géré par un microprocesseur TM Motorola de la série 6800020. Le système de chargement automatique fait par la France est positionné dans la nuque de tourelle. Il occupe un volume d'1,68 m³ (1,40 × 2,40 × 0,50 m) pour une masse à vide de 500 kg. Entre chaque tir, la bouche à feu revient automatiquement sous un angle de site négatif de 1,8° pour que l'opération de rechargement puisse s'effectuer dans de bonnes conditions. Une fois la culasse verrouillée, la bouche à feu reprend l'angle d'élévation indiqué par la conduite de tir.
En cas de dégradation du système, le convoyeur peut être mis en action à l'aided'une génératrice électrique à déclenchement manuel pour une meilleure défense. L’approvisionnement du convoyeur s'effectue à travers une fenêtre située à l'arrière de la tourelle. Un clavier de commande permet de faire tourner le chargeur automatique pour présenter une nouvelle cellule vide. Deux lecteurs de code-barres identifient la munition introduite afin de gérer sa position à tout instant. Si la munition ne comporte pas de code-barres, son type est introduit par le clavier de commande. Un barillet d'une contenance de dix-huit obus permet de compléter, sous blindage, les alvéoles du convoyeur. Il est situé à l'avant droit du châssis.
C’est un viseur panoramique gyrostabilisé produit initialement par la SFIM. Il comprend une lunette de visée, un ensemble intermédiaire et un boîtier électronique. Il dispose deux grossissements pour l’observation de jour : × 2,5 (grand champ de vision de 20°), × 10 (petit champ de vision de 5°). Pour l’utilisation de la nuit, Le viseur possède un système d’intensification de lumière de deuxième génération permettant de reconnaître une cible à 4 600 m environ et de l’identifier à 2 600 m. La voie de nuit a un grossissement : × 2,5 (champ de vision de 13°).
Si le char se marche sur un terrain difficile, la précision de la stabilisation est de l’ordre de 0,2 mrad. À côté de l’oculaire du VCH (Viseur CHef) HL 70 se place un moniteur TV d’une diagonale de 15 cm, ceci recopie l’image observée par le viseur du tireur (voie jour vidéo et l’image infrarouge filmée par la caméra thermique). Le chef de char dispose de la fonction de groupement automatique (Hunter-Killer). Ces ralliements permettent au tireur de désigner rapidement une cible en lui transférant les coordonnées exactes pour que le viseur du tireur s’aligne plus vite sur l’objectif pendant que le chef de char continue son observation du terrain.
Il est employé sur les Leclerc tropicalisés, il se distinct du HL 70 par l’utilisation d’une caméra thermique Alis à la place d’un intensificateur de lumière.
Les Leclerc SXXI disposent le viseur HL 120 avec un télémètre laser et une caméra thermique Iris qui remplace l’intensificateur de lumière.
Le viseur dispose deux pupilles respectivement 70 et 150 mm de diamètre.
Le viseur de masque gyrostabilisé a été conçu par SAGEM, sa mécanique est différente, il est lié au canon de 120 mm. La valeur de la précision de la stabilisation de la ligne de visée est de l’ordre de 50 µ rad20. Le HL 60 est composé d’une tête avec une ligne de visée, un ensemble d’acquisition et un boîtier électronique. Il possède un télémètre laser. La tête de visée dispose deux fenêtres en forme de pupille, l’une pour la voie jour et l’autre pour la voie nuit (thermique). La voie jour directe est dotée de deux grossissements × 3,3 (champ de vision de 17,5°), × 10 (champ de vision de 5,5°).
Sur le Leclerc tropicalisé émirien, ce grossissement est substitué par un × 14. De même qu'une voie jour vidéo avec un seul grossissement : × 10 (champ de vision de 3°x2°). Une voie infrarouge thermique accompagné de deux grossissements : × 3 (champ de vision de
La caméra thermique Athos, fabriqué par la SAT, permet de détecter une cible à 5 000 m, la reconnaître à 2 500 m et de l’identifier à 2 000 m. L’image enregistrée par la caméra thermique Athos est montré en temps réel sur un micro moniteur de télévision TVM 565 élaboré par Sextant Avionique.
La boîte de mécanisme ESM 50025 a été fabriqué par la Société d’Équipements Systèmes et Mécaniques (SESM), il pèse 1 800 kg, elle assure la traction, la direction et le freinage du char Leclerc. Elle embarque une boîte de vitesse automatique intégrant un convertisseur de couple. Cinq vitesses sont utilisées pour marche avant (dont une première lente) et deux en marche-arrière. La direction est assurée par un groupe hydrostatique de direction (GHD) produit par Poclain Hydraulique. Ce GHD d’une cylindrée de 286 cm³ est capable de faire pivoter le char sur lui-même en manipulant le volant du bout des doigts.
Le freinage assuré en pleine guerre est fait par un ralentisseur hydrocinétique qui absorbe l’énergie de ralentissement entre 71 et 35 km/h, la décélération pouvait atteindre 7 m/s2 sur sol sec. Même si ces tanks pèsent des tonnes, ce mode de freinage sophistiqué par la France est assurée. Deux freins à disque carbone-carbone complètent l’action du ralentisseur, si nécessaire, ils sont assez puissants, suffisant pour freiner le char à eux seuls.
Pour résumer, le dernier char français estle char Leclerc. Ce char est le premier char de combat français de 3e génération qui représente l’essentiel d’un système d’arme novateur pendant une guerre. Il constituel’outil de coercition et de décision majeure de l’armée de Terre. Ce char se manœuvre par le biais d'un volant central accompagné, à sa droite, d'un levier de vitesse permettant la gestion de la boîte de vitesses automatique et, à sa gauche, de divers indicateurs tels que ; la vitesse du char, le régime moteur, sa température ou encore le carburant restant. Il fait partie des fiertés des pays français. Le conducteur dispose sur l’épiscope central d'un indicateur de position de la tourelle ; et pour plus de précision d’un petit miroir braqué sur la partie numérotée du puits de celle-ci, lui permettant de tenir compte de la position du canon lors du déplacement. À la droite du conducteur se trouve un barillet contenant dix-huit obus et des réservoirs de carburant. Il est facile à conduire et bien robuste, mais pratique.